Compagnie tourner la page
© Benoît Croisy
La Petite Fille et la Mer
Création Octobre 2020
« Donner un sens aux choses ?
Mon sens à moi c’est celui de mon cœur qui bat, de ma gorge nouée, des larmes sur mon visage, des fous rires qu’on ne peut étouffer, des mains moites, des papillons dans le cœur, des étoiles au fond des yeux … Mais ce sens là il ne s’explique pas, on peut juste essayer de le raconter. »
Une petite fille aime tant la mer qu’elle s’y rend tous les jours pour la contempler et y jouer avec son ami Bernard, le crabe. Mais ce jour là, sur la plage, elle l’attend longtemps. Trop longtemps. Elle attend avec inquiétude que la mer remonte. Mais aucune étendue d’eau à l’horizon. Il semble que la grande bleue ait décidé de ne pas revenir. Pourquoi donc a-t-elle disparue ? Pour toujours ? Que s’est-il passé ? Que lui est il arrivé ? Est-elle fâchée ? Et contre qui ? Est-ce un caprice, la faute de la lune, des étoiles, sa faute à elle de petite fille, ou bien quelque chose de plus grave encore, invisible pour des yeux qui ne savent pas voir ?
Et si tout cela n’était qu’un mauvais rêve qui hante les hommes pour qu’ils comprennent que sans la mer ils seraient bien en peine de suivre le fil de leur existence.
Une conte allégorique où une petite fille aurait le pouvoir d’entendre et de parler avec la mer parce qu’il est indispensable de comprendre le langage de la nature quand elle essaye de vous parler.
Parce qu’il n’y a pas que la rose du Petit Prince qui s’apprivoise et s’entretient.
Parce que nous en sommes tous responsables.
Conception, écriture et mise en scène : Fabrice Hervé
Interprétation et création musicale: Chloé Löwy Girardeau ( harpe électro acoustique et clarinette) et Bernard Ariu ( accordéon )
Création Décors : Marie Gouffaut et Alex Couenne
Teaser : Hervé Schmoor
Durée du spectacle : 50 minutes
Production : Compagnie tourner la page
Coproduction : l’Archipel , scène conventionnée de Granville (50) / Entreprise les Champs Jouault / Conseil départemental de la Manche
Avec le soutien du Théâtre de Saint-Lô , de la Communauté d’agglomération Mont Saint Michel Normandie, de la Ville de Bréhal et du Centre départemental de création et d'histoire - Les Fours à chaux - Régneville sur mer - La Manche
Dossier artistique
Ecrire une œuvre dédiée à l’enfance nous engage à nous souvenir que nous fûmes enfants. Cela ne modifie pas le fond de l’acte créatif mais nous conduit à prendre en compte une autre temporalité, une autre conscience, une autre sensibilité, une autre compréhension du monde. L’enfant a le nez dans le vent, il parle de cœur à cœur, il musarde dans la vie en happant tous les détails qui surgissent devant lui. Il a cette nécessité en lui de découvrir, de ressentir, d’apprivoiser, de partager les émotions glanées en chemin. C’est muni d’une absence de certitude mêlée à une acuité permanente du regard qu’il fait face aux mystères de la vie. C’est dans cet espace de liberté que l’artiste doit arriver à s’engouffrer pour y trouver la source de son imagination. Regarder, penser, parler à hauteur d’enfant. Trouver un langage simple et dépouillé pour faire de notre projet une oeuvre d’enfance et non un spectacle pour enfants.
« Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants.
(Mais peu d’entre elles s’en souviennent) »
Antoine de Saint-Exupéry
© Benoît Croisy
La Petite Fille et la Mer
Création Octobre 2020
« Donner un sens aux choses ?
Mon sens à moi c’est celui de mon cœur qui bat, de ma gorge nouée, des larmes sur mon visage, des fous rires qu’on ne peut étouffer, des mains moites, des papillons dans le cœur, des étoiles au fond des yeux … Mais ce sens là il ne s’explique pas, on peut juste essayer de le raconter. »
Une petite fille aime tant la mer qu’elle s’y rend tous les jours pour la contempler et y jouer avec son ami Bernard, le crabe. Mais ce jour là, sur la plage, elle l’attend longtemps. Trop longtemps. Elle attend avec inquiétude que la mer remonte. Mais aucune étendue d’eau à l’horizon. Il semble que la grande bleue ait décidé de ne pas revenir. Pourquoi donc a-t-elle disparue ? Pour toujours ? Que s’est-il passé ? Que lui est il arrivé ? Est-elle fâchée ? Et contre qui ? Est-ce un caprice, la faute de la lune, des étoiles, sa faute à elle de petite fille, ou bien quelque chose de plus grave encore, invisible pour des yeux qui ne savent pas voir ?
Et si tout cela n’était qu’un mauvais rêve qui hante les hommes pour qu’ils comprennent que sans la mer ils seraient bien en peine de suivre le fil de leur existence.
Une conte allégorique où une petite fille aurait le pouvoir d’entendre et de parler avec la mer parce qu’il est indispensable de comprendre le langage de la nature quand elle essaye de vous parler.
Parce qu’il n’y a pas que la rose du Petit Prince qui s’apprivoise et s’entretient.
Parce que nous en sommes tous responsables.
Conception, écriture et mise en scène : Fabrice Hervé
Interprétation et création musicale: Chloé Löwy Girardeau ( harpe électro acoustique et clarinette) et Bernard Ariu ( accordéon )
Création Décors : Marie Gouffaut et Alex Couenne
Teaser : Hervé Schmoor
Durée du spectacle : 50 minutes
Production : Compagnie tourner la page
Coproduction : l’Archipel , scène conventionnée de Granville (50) / Entreprise les Champs Jouault / Conseil départemental de la Manche
Avec le soutien du Théâtre de Saint-Lô , de la Communauté d’agglomération Mont Saint Michel Normandie, de la Ville de Bréhal et du Centre départemental de création et d'histoire - Les Fours à chaux - Régneville sur mer - La Manche
Dossier artistique
Ecrire une œuvre dédiée à l’enfance nous engage à nous souvenir que nous fûmes enfants. Cela ne modifie pas le fond de l’acte créatif mais nous conduit à prendre en compte une autre temporalité, une autre conscience, une autre sensibilité, une autre compréhension du monde. L’enfant a le nez dans le vent, il parle de cœur à cœur, il musarde dans la vie en happant tous les détails qui surgissent devant lui. Il a cette nécessité en lui de découvrir, de ressentir, d’apprivoiser, de partager les émotions glanées en chemin. C’est muni d’une absence de certitude mêlée à une acuité permanente du regard qu’il fait face aux mystères de la vie. C’est dans cet espace de liberté que l’artiste doit arriver à s’engouffrer pour y trouver la source de son imagination. Regarder, penser, parler à hauteur d’enfant. Trouver un langage simple et dépouillé pour faire de notre projet une oeuvre d’enfance et non un spectacle pour enfants.
« Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants.
(Mais peu d’entre elles s’en souviennent) »
Antoine de Saint-Exupéry